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my heart will go on ♦ FEAT MAELYS

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Shakespeare H. Whistler
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Shakespeare H. Whistler

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MessageSujet: my heart will go on ♦ FEAT MAELYS my heart will go on ♦ FEAT MAELYS EmptyDim 11 Juil - 20:59

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Maelys & Shakespeare

A quoi pouvait bien penser Shakespeare à ce moment même ? Difficile de se tromper. Il n'avait que cette brune dans son esprit, la jolie Pandora, celui dont il se rappelait de tout. De ses courbes, de sa petite taille, de ses lèvres charnues, de ses beaux cheveux sombres. Du grain de sa voix, de sa manière de gérer une conversation, et son regard, dieu, son regard. Il avait rêvé d'elle. Pas de rêve érotique ne vous inquiétez pas, il s'était juste vu avec elle dans une vallée sur un cheval, la sauvant d'un quelconque homme qui voulait la tuer. C'est avec ces images en tête que le jeune homme cligna des paupières, essayant de vite s'adapter à son environnement. Il habitait dans un petit appartement pourri à Las Vegas, car bien sûr, ce n'était pas ses parents riches qui allaient lui envoyer de l'argent. Même s'ils le faisaient, il renverrait les billets de 100 dollars aussi vite qu'ils étaient arrivés. Cette vie était derrière lui, il voulait être normal, à tout prix. Et si cela voulait dire se coltiner des petits boulots en plus de ses études pour arriver à joindre les deux bouts; il le ferait.

D'un geste de la main, Shakespeare écarta un moustique qui s'approchait bien trop de sa peau pour lui, sans pour autant l'écraser avec un quelconque livre. Il ne tuait personne, même les insectes, qui étaient des êtres vivants, comme vous et moi. Quelques instants avant de s'extirper de ses couettes, et il était debout. Son mode de vie était vraiment spartiate et son appartement s'apparentait plus à un mini studio que n'importe quoi. Il était impossible d'être à plus de deux dans cet endroit, car l'on devait slalomer pour ne pas se cogner dans les chaises, pour rentrer dans la cuisine pour pour aller dans la salle de bains. Le jeune homme, ne souhaitant se faire un énième bleu, écarta les rideaux qui filtraient la lumière et éclaira la pièce. Parfaitement rangée, comme d'habitude. Il avait ce côté maniaque qui pouvait énerver ses amis, car il était obligé de le faire ressortir n'importe quand. En attendant chez le médecin, il mettait en pile les magazines et s'assurait que rien ne dépassait. Quand il allait chez quelqu'un d'autre, il aimait lisser la couette afin qu'il n'y ait point de plis. D'ailleurs, il se dépêcha de faire son lit comme tous les matins, et fut satisfait d'y arriver chaque jour un peu plus rapidement. Les petits bonheurs de la vie, si simples à attraper, si exquis à manger.

En caleçon, le jeune homme s'enferma dans la salle de bains pour se laver le corps. Il détestait la sensation d'être sale, comme il haïssait le désordre. Peut-être avait-il des TOC, il ne s'était jamais fait « examiner » par un psychiatre ou un psychologue. L'eau chaude le réveilla (pas besoin d'eau glacée bien heureusement), et toutes les senteurs du gel douche lui montèrent au nez pour le faire gémir d'extase. Ce fut assez rapide, il sortait avec un peignoir et se dirigea vers son dressing. Ses vêtements aussi étaient impeccablement pliés ou mis sur des cintres, et sans un pli aucun. Il aimait son repasseur pour lui donner de si bons résultats. Bref, il empoigna une chemise, des nouveaux sous vêtements et un jean pour les enfiler à la va vite, et se décida à sortir pour prendre son petit déjeuner. Une fois n'était pas coutume, il se faisait un petit cadeau pour le début de la journée.

Shakespeare, après avoir pris un sac en bandoulière, descendit les escaliers rapidement et se retrouva dans la rue, le soleil tapant sur son visage. Un mini ventilateur ou un éventail ne lui aurait pas fait de mal. Ajoutez à ça la foule qui se rendait au travail le matin, et vous aviez un pauvre garçon en sueur qui n'arrivait pas à avancer. Finalement, il arriva au café le plus proche, qui était un Starbucks. Assez cher pour son pauvre paiement, mais bon, il avait bien dit qu'il se ferait un cadeau. Entrant dans la propriété, il commanda sur place un frapuccino et une part de cheesecake, avant de rejoindre une petite table et de sortir son ordinateur portable Apple qu'il avait pris pour s'occuper. Il travaillait actuellement sur son premier roman, que personne n'avait lu bien évidemment, et pensais que manger en écrivant lui donnerait un peu d'inspiration. C'était le cas. Il se mit à pianoter avec insistance sur les touches de son clavier et ne pouvait plus s'arrêter. Finalement, alors que ses yeux lui firent mal, il jeta un coup d'œil à sa montre et se rendit compte qu'il venait de passer une heure à écrire. Il commandait un autre café et se rasseyait, en observant les personnes qui défilaient pour avoir le leur. Et il la vit. Maelys. Une de ses ex petites amies.

Il n'était pas particulièrement don juan, mais avais quand même quelques conquêtes à son actif. Par contre, celle là se montrait insistante. Si elle voulait rester amie avec lui, pourquoi pas, il ne lui aurait jamais refusé une chose pareille, mais elle ne semblait pas voir leur relation comme ça. Il frissonna quand elle s'approcha d'elle, et la regardais un peu étonné lorsqu'elle s'assit à sa table. « Maelys, tu .. » Que dire ? Il resta coi quelques secondes et reprit la parole. « Quelle coïncidence ! Comment vas-tu ? » Shakespeare rabaissa vite l'écran de son ordinateur, de peur qu'elle ne lise ce qu'il écrivait. « Je suis heureux de te voir » Ce qui n'était pas complètement faux. Après tout, comment oublier une histoire d'amour aussi facilement, surtout avec une femme pleine de caractère ..
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Maelys L. Kamons
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Maelys L. Kamons

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MessageSujet: Re: my heart will go on ♦ FEAT MAELYS my heart will go on ♦ FEAT MAELYS EmptyMar 13 Juil - 14:17

Un torse musclé dégoulinant de petites gouttelettes d’eau, un short de surfeur ajuster comme il faut là où il faut et un visage si somptueux que n’importe qu’elle femme au monde se laisserais séduire sans même hésiter ne serai-ce qu’une simple minute. Elle dans son petit bikini noir, si simple mais montrant parfaitement ses formes si agréable a regarder, installée sur une serviette avec ses lunettes quelques peu relevé pour pouvoir profiter de cet apollon sortant de l’eau… Si elle avait eu la possibilité de mettre pause a cet instant même c’est sans aucun doute ce qu’elle aurait fait depuis longtemps. Elle se contenta pour la peine de se lever et d’aller vers cet homme au corps si bien fait et de lui faire du charme comme elle n’en avait encore jamais fait. Que voulez-vous c’est que cette jeune femme c’est parfaitement si prendre quand elle veut quelque chose ou comme ici quelqu’un! Malheureusement pour elle au moment où les choses allaient prendre forme, elle entendit un bruit, un très gros bruit et se redressa très rapidement, à ce moment elle comprit que cet homme parfait n’était que l’illusion d’un beau souvenir dont elle avait rêver et pas un magnifique instant qui se répéter… A cet instant elle détesta autant que cela était possible la personne qui l’avait sortit de son sommeil, mais bon c’est un des inconvénients a vivre en collectivité heureusement qu’il y a également beaucoup de bon coté a cet situation. Bref maintenant elle n’avait plus grand-chose d’autre a faire que de se lever de son lit, même si honnêtement elle y serait bien rester encore quelques heures de plus rien que pour le plaisir d’être dans son lit. Au bout de dix minute elle trouva finalement le courage de se lever et d’aller en direction de sa salle de bain, c’était sans doute l’un de ses endroits préférer, le moment où on plonge la tête sous l’eau et que seule les clapotis de l’eau résonne sur votre peau… En pensant a ce moment de plaisir qu’elle chérissait tout les matins, elle commença a retirer son pyjama et a allumer l’eau de la douche pour que la température de l’eau sois parfaite. Pendant près d’une demi-heure elle resta sous l’eau a repenser a ce rêve qui la hanter mais qui pourtant un jour avait était réelle, c’était sans doute a cause de cet homme si aujourd’hui elle avait tendance a traiter les hommes comme des objets simplement bon a satisfaire ses envies. Bref quand elle en eu marre d’être sous la douche, elle attrapa une serviette préalablement installée et l’enroula autour de son corps, puis pris une autre serviette pour sécher légèrement ses cheveux question que cela ne dégouline pas partout dans sa chambre, chambre dans laquelle, elle alla pour pouvoir s’habiller ou en tout cas essayer de choisir ce qu’elle porterais pour la journée. Elle adorais ça chambre, elle avait tout décorer elle-même ce qui paraît logique après tout, son lit était un grand lit deux personne avec un entourage de lit comme les princesses, il est d’un mélange noir argenté qui met en valeur le papier peint uni noir sur trois murs et argenté sur le dernier. Tout le long des murs se trouve des cadres et des miroirs au entourages des même couleurs une vrai chambre dans le style baroques modernes qu’elle adore! Bref, elle alla directement vers son dressing son petit paradis rien qu’à elle, a l’intérieur se trouvais tout els vêtements pour lesquelles elle avait craquer et qu’elle avait acheter sans même prendre le temps de les regarder complètement… Maelys sortit un slim noir tout simple avec les couture blanche, un petit top court sur le devant et l’arrière et long sur les coté de couleur jaune avec des escarpins de la même couleurs. Si elle pouvait changer de tenue dix mille fois par jour elle le ferais sans problème mais bon, le petit soucis c’est qu’après il faut laver les vêtements! Bref après ça la jeune femme descendit jusqu’à la cuisine, elle passa par le salon où se trouvait deux ou trois personnes, en arrivant devant les placard et en les ouvrants un par un, la jeune femme ne trouva rien qui pourrait lui donner envie. Alors autant ne pas se prendre la tête, elle décida d’aller prendre un bon petite déjeuner au Starbuck, ses clefs de voiture en main elle s’y rendit assez rapidement c’est ce qui est bien en vivant près de l’université tout est a porté de main ou plutôt assez rapide en voiture dirons-nous. Une fois sur place elle entra, commanda un café noir, une petite brioche et une salade de fruit question de bien manger pour tenir toute la journée puisqu’elle ne prenait pas souvent le temps de manger le midi… Quand elle se retourna pour trouver une place a indiquer au serveur, parce que oui la demoiselle se fait servir directement a sa place, elle aperçut une tête connue celle d’un ex-petit ami Shakespeare. Il fit une tête assez amusante pour la jeune femme quand il là vu, pas qu’ils se soient quitter en mauvais thermes mais Maelys a tendance a vouloir draguer le jeune homme qui lui est déjà amoureux d’une autre, ce qui malheureusement a pour conséquence de lui donner encore plus envie de le draguer. Elle se dirigea donc vers lui d’un pas assuré après tout si la demoiselle a un jour était réserver ce n’est plus le cas depuis longtemps! Sa première réplique fut «  Maelys, tu… » Ce qui fit sourire la jeune femme, elle se contenta d’ajouter «  Je… » Il finit par trouver ses mots et lui dit « Quelle coïncidence! Comment vas-tu? » Elle s’installa donc a la table du jeune homme toujours aussi souriante et lui répondit simplement. «  Pas tant que ça, il n’y a pas beaucoup d’endroit simpas où prendre un petit déjeuner quand on y réfléchit! Et je vais parfaitement bien et toi comment vas-tu dernièrement? » Elle avait beaucoup de mal a se contentait de banalité mais bon lui sauter dessus comme ça de si bon matin était peut-être un peu trop… « Je suis heureux de te voir » Cette remarque la fit sourire, il était d’une gentillesse incroyable la plupart des hommes en auraient déjà eu marre de son attitude, en glissant son pied le long de la jambe du bel âtre elle finit par lui dire. «  Moi aussi, mais je pourrais te le prouver si tu m’en laisser l’occasion! »
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Shakespeare H. Whistler
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Shakespeare H. Whistler

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MessageSujet: Re: my heart will go on ♦ FEAT MAELYS my heart will go on ♦ FEAT MAELYS EmptyMer 14 Juil - 9:44

S'il y avait une personne que Shakespeare ne voulait vraiment pas croiser, c'était bien Maelys. Pourquoi ? Permettez moi de faire un petit état de la situation. Ils étaient sortis ensemble, pas très longtemps mais tout de même, et s'étaient séparés en bons termes. Ou en tout cas, c'était ce qu'avait cru le garçon, car depuis, elle le harcelait comme si elle devait le draguer à nouveau. L'avoir pour elle en quelque sorte. Il se demandait si elle savait qu'il avait vraiment des vues sur une autre ou si elle croyait qu'il inventait juste ça en excuse pour ne pas la fréquenter. C'était une jeune femme confiante et ainsi elle n'avait pas peur de lui faire du rentre dedans, alors qu'il était clairement amoureux d'une autre. Cette autre, ah, cette autre .. Il ne pouvait s'empêcher de penser à elle. Ses cheveux bruns parfaitement coiffés, sa figure angélique, sa taille qui la rendait adorable, son parfum, sa manière de parler .. Bref, un peu tout. Quand à Maelys, bien sûr elle était jolie, mais elle n'était plus celle qui l'attirait. Physiquement ou mentalement. Il s'était rendu compte qu'elle était un peu peste sur les bords en la fréquentant mais en ne laissant jamais apparaître franchement ce qui se passait dans ses pensées. Malgré cela, Shakespeare ne pouvait dénier que cela lui faisait encore un petit quelque chose de la voir. Ils avaient tout de même passé du temps dans leur vie ensemble, et on ne pouvait pas tout effacer comme la craie sur un tableau noir. C'était une des raisons pour lesquelles il n'était pas arrivé à trouver ses mots en la voyant, entre autres. Elle s'installa à la table de Shakespeare avec assurance et semblait parfaitement bien dans son corps et dans sa tête. C'était bien pour elle, il se souciait du bien être des autres et n'aurait pas, de toute façon, imaginé une Maelys sans son sourire. On aurait dit qu'elle passait sa vie à faire ça, sourire, sourire, encore sourire, mais avec ce petit air qui faisait fondre les garçons ou qui faisait hérisser les poils. « Pas tant que ça, il n’y a pas beaucoup d’endroit simpas où prendre un petit déjeuner quand on y réfléchit! Et je vais parfaitement bien et toi comment vas-tu dernièrement? » Ils étaient quand même à Vegas, il y avait une pléiade d'endroits où prendre son petit déjeuner. Mais pour ne pas la froisser, Shakespeare décida de se taire sur ce point là. Comment il allait ? Disons qu'il était constamment en train de penser à la même personne, que cela le rendait heureux, mais en même temps le désespérait parce qu'il n'était pas avec elle. Il ne savait même pas si elle avait un homme dans sa vie ce qui était peut-être le cas, ce qui rendait la situation encore plus compliquée. « Parfaitement bien, comme tu dis … Enfin tu me connais, il m'en faut peu pour être heureux. » Il lui adressa un sourire et but un peu à la paille la boisson qu'il avait commandé, ne touchant pas encore au gâteau qui devait être délecté. Shakespeare n'était pas obsédé par la nourriture, d'ailleurs, il oubliait souvent qu'il fallait manger, mais des petits plaisirs comme celui-ci, il s'en donnait régulièrement. Pas trop tout de même, pour garder un corps respectable, et de toute façon, il faisait régulièrement du sport pour conserver sa forme d'Apollon. Alors qu'il était perdu dans ses pensées, il sursauta en sentant quelque chose contre sa jambe. Après le choc, il comprit que ce n'était que le pied de Maelys .. Qui devrait se trouver autre part sous la table qu'ici. « Moi aussi, mais je pourrais te le prouver si tu m’en laisser l’occasion! » Shakespeare poussa un soupir et laissa la jeune femme coller son pied où elle voulait, après tout, cela ne lui faisait absolument rien. Il avait été surpris au début mais ce n'était pas parce que cela lui provoquait quelques sensations, au contraire. Il devenait un peu exaspéré par l'attitude de Maelys avec qui il adorerait être amie, si elle oubliait tous ses plans pour le draguer. « Maelys .. » Il poussa un grand soupir d'exaspération et reprit la parole. « Arrête s'il te plait, tu es ridicule. Tu sais bien que je ne céderai jamais à tes avances. » Et pour cause. Shakespeare déplaça sa jambe pour qu'il arrête de sentir le pied de Maelys contre celle-ci. Vraiment incorrigible celle la ! « Tu devrais comprendre ce que « fini » veut dire. Cela veut dire que toi et moi, nous ne sommes que des amis maintenant, si seulement tu arrêtais de te comporter comme cela. » Ce n'était pas son intention de se couper complètement de la jeune femme, et c'était pour ça qu'il insistait sur le mot ami. Elle était pleine de richesses intellectuelles et c'était bête de ne plus revoir quelqu'un qui vous intéressait juste parce qu'elle n'arrivait pas à se mettre dans la tête la véritable relation qu'ils avaient ensemble.
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Maelys L. Kamons
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Maelys L. Kamons

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MessageSujet: Re: my heart will go on ♦ FEAT MAELYS my heart will go on ♦ FEAT MAELYS EmptyMer 14 Juil - 12:44

Ah cette sacrée Maelys, elle adorait que les gens la détestent, pas tous évidemment mais la plupart en tout cas! C’est comme une mission pour la demoiselle, un nombre d’ennemie a se faire dans la journée c’est vrai qu’on a plus tendance a ne pas être gênée par le manque d’affection que peuvent avoir les autres envers vous, quand vous-même êtes capable de n’en donner aucun, bon aucune c’est peut-être exagérer mais très peu ça c’est sur et certain. Pourtant elle n’avait pas du tout envie que Shakespeare la déteste, elle l’apprécier vraiment en tant qu’ami mais c’est comme une pulsion chez elle, si on la rejette il faut qu’elle face tout pour que la personne craque. Ce qui la faisait encore plus insister c’est le fait que lui ne craquerais sans doute jamais trop amoureux de sa dulcinée pour le faire. C’est sans doute en pensant encore que tout les hommes ne sont que des sal*ps comme celui qui lui a biser le cœur, qu’elle essaie de voir si lui aussi en est un! Malgré son coté peste, avant son histoire avec son premier amour qui avait mal tourner, elle n’aurait nullement agit ainsi bien au contraire elle aurait sans doute tout fait pour que son ami puisse s’épanouir avec la jeune femme pour qui il en pincer tellement… C’est vrai ces sans doute un peu stupide d’agir ainsi, mais au moins les femmes qui tombaient amoureuse de ces hommes sans scrupules et sans sentiments savaient a quoi sans tenir dès le début. Peut-être devrait-elle arrêter de tester celui qui arriver a supporter ou en tout cas faisait comme ci il la supportait, pour leur laisser une chance d’être amie. Elle y avait déjà penser une multitude de fois, mais n’avait jamais réussi a trouver la façon de changer d’attitude, tout ce petit jeu de garce sans cœur était devenue sa vrai personnalité comme un déguisement que l’on enfile petite, que l’on ne veut plus enlever et qui malheureusement quand c’est le cas ne peut plus être retirer, on a passer tellement de temps dans ce rôle qu’il nous est simplement impossible d’envisager avoir était quelqu’un d’autre un jour. Bref en sortant de ses pensé, elle se rappela ce qu’elle venait de lui dire, il avait sans doute dû trouver cela stupide de dire qu’il n’y avait que peu d’endroit où prendre un bon petit déjeuner. Ce n’est pas vraiment ce qu’elle aurait dut dire, puisque Las Vegas est bien trop grand pour ne contenir qu’un bon petit café où délecter tranquillement un petit déjeuner. Ca non et elle le savait ayant toujours vécue ici, elle en connaissait les moindres recoins, mais elle savait aussi que dans la pluparts des endroit que contenait cette belle ville se trouvait aussi de multiples tentations auxquelles il devient difficile de résister quand on y est trop souvent et puis il y a aussi les endroit où l’on a tout ses souvenir que l’on préférerait oublier a tout jamais plutôt que d’avoir a les revivre. Voilà pourquoi la jeune femme avait dit ça c’était plutôt personnel quand elle avait dit qu’il n’y avait pas beaucoup d’endroit pour prendre un bon petit déjeuner. Après ça son ami lui répondit « Parfaitement bien, comme tu dis… Enfin tu me connais, il m’en faut peu pour être heureux.. » Elle souria a cette remarque, il avait bien raison de penser ainsi après tout pourquoi ce compliquer la vie a toujours tout compliquer… Elle venait de glisser son pieds le long de la jambe du jeune homme, pourquoi? Sans doute pour voir combien de temps il mettrait avant de l’envoyer promener car elle le savait très bien qu’il ne craquerais plus, si il avait du craquer se serait fait depuis longtemps. D’ailleurs quand il poussa un soupir cela la fit sourire apparemment ce ne serait pas pour le moment! Puis finalement il ouvrit la bouche allait-il la remettre a sa place où non? « Maelys » Voici ce qu’il prononça en premier ce qui fit légèrement rire la jeune femme qui n’avait vraiment pas l’air de le prendre au sérieux puisqu’elle ajouta ensuite. «  Shakespeare!!! » Okay c’est assez puéril comme réponse mais bon tant pis, de toute manière c’était fait, le petit soucis principal de la jeune femme parler et agir sans même prendre le temps de réfléchir avant, mais c’est de cette manière qu’elle arriver a s’amuser de n’importe qu’elle situation alors pourquoi devrait-elle arrêter? « Arrête s’il te plait, tu est ridicule. Tu sais bien que je ne cèderais jamais a tes avances. » Finit-il par lâcher , a sa y est il faut croire que le vase commencer enfin a déborder apparemment! « C’est bien là le problème, si tu le faisait je te laisserais tranquille ensuite… » lui dit-elle tout en se mordillant la lèvre, elle savait pertinemment que son petit jeu ne fonctionner pas mais bon, qui ne tente rien a rien n’es-ce pas! Il fini même par pousser sa jambe pour que le pieds de Maelys ne le touche plus, ce qui eut le don de beaucoup l’amuser, elle n’insista pas sur ce point et le laissa finir ce qu’il avait a dire… «  Tu devrais comprendre ce que « fini » veut dire. Cela veut dire que toi et moi, nous ne sommes que des amis maintenant, si seulement tu arrêter de te comporter comme cela. » A il en avait finalement eu marre de l’attitude la demoiselle, puisqu’il essayer de mettre les points sur les i! Ce qu’il venait de dire la fit sourire puis elle ajouta simplement. «  Le problème dans ce que tu vient de dire se trouve dans la fin! Tu ne me connais pas autrement que de cette manière alors si nous sommes amis c’est parce qu’à un moment ou un autre tu a apprécier cette partie de moi et tu n’en connais pas d’autres… Qui te dit que tu t’entendrais bien avec une copie de moi gentille et mielleuse sans aucun intérêts? » C’est vrai les gens avait prit l’habitude d’apprécier cette jolie brune malgré son tempérament de feu et son caractère plutôt difficile, alors comme pourrait-elle être différente maintenant.
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Shakespeare H. Whistler
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MessageSujet: Re: my heart will go on ♦ FEAT MAELYS my heart will go on ♦ FEAT MAELYS EmptyMer 14 Juil - 13:25

Shakespeare n'avait jamais aimé les femmes qui se donnaient à n'importe quel garçon sans connaître leur personnalité, ou tout simplement pour les faire souffrir. Il n'avait jamais aimé les Don Juan version féminin, tout simplement parce qu'il trouvait horrible de briser le cœur des autres. Avant de déménager, bien sûr, le jeune homme avait eu plusieurs petites amies, mais c'était à chaque fois elles qui le quittaient sans explications. Pourtant, il était le cliché du petit ami parfait ; attentionné, gentil, serviable, romantique, et j'en passe .. Il avait toujours été parfait envers elle. Et puis, elles lui brisaient le cœur, et à chaque fois il avait déprimé pendant un petit bout de temps. Se demander pourquoi, se demander s'il n'avait pas fait quelque chose de mal. Il ne poussait jamais les gens à faire des choses qu'ils ne voulaient pas, alors il ne fallait pas s'attendre à être brusqué avec Shakespeare. Voir Maelys faisait remonter les sentiments qu'il avait pu éprouver pour elle autrefois, et aussi le moment de déprime qui avait suivi leur rupture. Car oui, même si c'était une fille comme ça qu'il quittait, il pleurait toutes les larmes de son corps (métaphoriquement, car il ne pleurait jamais). Il avait aimé son caractère de feu, sa hardiesse, son franc parler, mais son côté séductrice ne lui avait jamais vraiment plu. Surtout parce qu'il pensait qu'elle en faisait trois tonnes pour rien, et qu'il lui avait fait remarquer. On aurait dit qu'elle revêtait un costume, pourquoi ne pouvait-elle pas être tout simplement elle même ? Ah ! La grande problématique de tout être humain, savoir qui on est vraiment. Shakespeare n'arrivait pas à imaginer que Maelys était vraiment comme cela, mais ne pouvait pas non plus affirmer qu'elle était quelqu'un d'autre. Bref, il ne la comprenait pas du tout, même s'il essayait. Par contre, il n'était pas très difficile de comprendre le jeune homme, même si l'on ne pouvait pas lire en lui comme dans un livre ouvert. Il était vraiment le cliché du bon garçon qui ne coucherait pas avec une fille bourrée, ou qui rendrait son portefeuille au passant qui l'avait laissé tomber. Attention, il n'était pas assez gentil pour devenir naïf ou simplet, au contraire, il passait son temps à réfléchir et c'était ce qui lui nuisait. C'était un garçon intelligent, plus que la moyenne, alors, il analysait les situations avec plus de rapidité que les autres. Également, il avait une façon de regarder chaque chose qui était différente, et, il restait calme et posé tout le temps. Impossible de voir un Shakespeare en colère ou sur le point de frapper quelqu'un, ce n'était vraiment pas son genre. Il était plus à faire du mal à soi même qu'aux autres. Pas dans le sens des mutilations (quoi qu'il avait quelques marques sur les bras), mais dans la torture mentale. Il se demandait toujours ce que pensaient les autres et des choses du genre, et étant plutôt du genre pessimiste, ce n'était pas très joyeux dans sa tête. Il donnait l'apparence d'un gars parfaitement heureux mais il était plus torturé qu'autre chose. « Shakespeare!!! » répondit-elle lorsque je prononçais son nom. Elle était amusante comme fille tout de même, gardant son humour dans n'importe quelle situation. Shakespeare rigola quelques instants et reprit son sérieux. C'était dur de faire cette dernière chose en parlant avec Maelys mais whatever, il allait bien se forcer. « C’est bien là le problème, si tu le faisait je te laisserais tranquille ensuite… » Shakespeare leva les yeux au ciel, espérant qu'un petit ange qui passait l'aiderait à faire face à cette situation. Elle n'allait pas en démordre ! « Je ne sais pas ce que tu penses de moi, mais je ne suis pas le genre de garçon qui se laisserait traiter comme un mouchoir en papier de la main d'une femme, comme je ne me servirai jamais de quelqu'un d'autre de cette façon là. Tu dis littéralement que tu veux m'enfiler comme une chaussette et me mettre au linge sale juste après ! Si tu avais vraiment voulu de moi, tu l'aurais montré lorsque nous étions en relation. » Il venait de prononcer ça d'un air très froid, buvant encore un peu de sa boisson et commençant à la cuillère son gâteau. « Le problème dans ce que tu vient de dire se trouve dans la fin! Tu ne me connais pas autrement que de cette manière alors si nous sommes amis c’est parce qu’à un moment ou un autre tu a apprécier cette partie de moi et tu n’en connais pas d’autres… Qui te dit que tu t’entendrais bien avec une copie de moi gentille et mielleuse sans aucun intérêts? » Ce qu'elle disait n'avait absolument aucun sens, et Shakespeare n'écoutait que d'une oreille. Il fallait vraiment qu'elle fasse du progrès dans sa manière de s'exprimer parce qu'elle n'était vraiment pas claire. « Il est certain que je t'ai aimée parce que ton caractère était spécial, et qu'une personne sans intérêt serait insipide. Tout ce que je veux c'est être ami avec toi sans ambiguïté, pourquoi ne peux-tu pas t'y résigner comme moi ? Je ne vais pas m'intéresser d'un point de vue amoureux à deux filles en même temps, car oui, il y a bien une femme dans ma vie même si nous ne sommes pas en couple .. » Shakespeare se renfonça dans son siège.
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Maelys L. Kamons
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MessageSujet: Re: my heart will go on ♦ FEAT MAELYS my heart will go on ♦ FEAT MAELYS EmptyMer 14 Juil - 13:31

La jeune femme ne savait plus trop ce qu'elle pensait a cet instant tellement que même c'est paroles s'embrouillait, il avait toujours était adorable alors pourquoi ressentait-elle de besoin d'agir de cet façon, de prendre le risque de perdre une personne qui avait toujours était des plus gentil avec elle et qui l'avait accepter malgré c'est défaut parfois vraiment insupportables. Mais que voulez-vous c'est comme ça quand on a était blesser une fois c'est plus facile ensuite de faire montrer vos pires coté aux autres pour qu'ils n'est pas envie de vous connaitre ou même de vous apprécier! Quand il lui dit qu'il n'était le genre de garçon qui se laisse traiter comme un mouchoir cela la fit rire, bien sur il n'avait pas l'air de rigole mais elle ne pouvait réagir autrement!« Tout de suite tu prend les choses mal, dit toi que si je te met au sale après t'avoir utilisé... Non sérieusement j'arrive pas avec cet métaphore, je dit simplement que je pourrais me contenter d'une nuit si tu te décider a me l'offrir. Et puisque tu parle de notre relation a qu'elle moment ne t'ai-je pas montrer que je tenais a toi? » C'est vrai quand ils étaient ensemble elle avait effectivement toujours eu son sale caractère mais elle n'avait pas l'impression de lui avoir montrer un moment ou à un autre ne pas avoir tenue a lui. Au contraire c'était l'une des rares relations à peu près saine qu'elle avait réussi à entretenir, alors malgré ça façon d'agir maintenant elle avait dans l'espoir qu'il garde un bon souvenir de leur histoire. Bizarrement cette réflexion l'avait vexer pourtant elle avait entendu des choses bien plus vexante que ça puisqu'elle n'était même pas sur de la nature de ses propos.« Pourquoi je ne peux m'y résigner? Parce que je ne suis pas le genre de fille avec qui l'on est simplement ami. De plus tu a vraiment compter pour moi à un moment de ma vie et les seule personne qui ont eu l'occasion de compter pour moi je les est laisser s'en aller ou blesser d'une manière ou d'une autre. Je trouve notre relation plus amusante ainsi, voilà tout! » Finit-elle par lui dire, elle avait presque réussi a perdre son ton condescendant en lui répondant ceci mais elle avait vite retrouver ses mauvaises habitude. Elle avait déjà était le jeune femme gentille, amicale et charmante que tout les gens veulent comme ami! Mais c'est en devenant une garce que les gens ont commencer a l'apprécier alors pourquoi revenir en arrière?
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Shakespeare H. Whistler
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MessageSujet: Re: my heart will go on ♦ FEAT MAELYS my heart will go on ♦ FEAT MAELYS EmptyMer 14 Juil - 15:00

Une nuit. Mais quelle était vraiment la valeur d'une nuit ? Pourquoi s'accrochait-elle à ça comme si c'était le summum des actes romantiques, quand vraiment, c'était totalement l'inverse ? Une nuit sans sentiments était peut-être une partie de plaisir pour certains, mais certainement pas pour Shakespeare. D'ailleurs, lorsqu'elle prononçait ses phrases, il la regardait un peu choqué des aberrations qu'elle sortait. A vrai dire, il ne savait vraiment plus ce qu'elle attendait de lui. Avait-elle tellement peu d'estime de soi qu'elle allait faire la mendiante auprès de ses ex petits amis pour des nuits ? Était-elle vraiment si seule que ça ? Shakespeare la regardait avec pitié, maintenant, lorsqu'elle se démêlait dans ses phrases, avant de prendre la parole. « Qu'est-ce qu'une nuit pourrait t'apporter, réellement ? Tu ne trouves pas qu'il est mieux que tu trouves un homme qui t'aime pour ce que tu es et qui sera là pour toutes les nuits que tu passeras ? Tu ne veux pas connaître l'amour, le vrai ? Quant à ce que tu ai tenu à moi durant notre relation, je ne sais plus vraiment quoi penser, tu m'embrouilles .. Pourquoi es-tu obligé de te comporter de cette manière .. » Il finissait sa boisson avec un air un peu choqué. Il n'avait pas pendant une seconde pensé que sa petite amie était comme ça lorsqu'il sortait encore avec Maelys, et il découvrait peu à peu la personne qu'elle était, ou en tout cas, qu'elle prétendait être. Alors comme ça on ne pouvait pas être ami avec la jeune fille ? Elle expliquait maintenant ce qui se passait dans sa tête et Shakespeare prenait un air intéressé. Enfin, il était vraiment intéressé par le comportement de la jeune femme et souhaitait mieux la comprendre. « Tu ne crois pas qu'aujourd'hui est un jour à faire des expériences ? Si tu prends déjà pour acquis le fait que tu n'es amie avec personne, il est sûr que tu n'en auras jamais ! Tu sais bien que je ne céderai jamais, même pour une nuit, quoi que tu fasses. Mais il faut que tu saches que je peux converser avec toi, t'écouter, te rassurer, être toujours là pour toi, comme un véritable ami. » Et il prenait une de ses mains pour la serrer dans les siennes, dans un geste amical. Il osa même un petit sourire en sa direction, tout en la regardant droit dans les yeux. Il n'avait pas envie de la laisser filer, il voyait bien qu'elle souffrait d'une manière ou d'une autre.
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Maelys L. Kamons
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MessageSujet: Re: my heart will go on ♦ FEAT MAELYS my heart will go on ♦ FEAT MAELYS EmptyMer 14 Juil - 15:38

Pourquoi une nuit pouvait donner a ce point envie a la jeune femme, ce n'est pas vraiment parce que c'est juste une nuit de plaisir. C'est simplement parce que les femmes ont toujours eu le pouvoirs sur les hommes, bon peut-être pas tous la preuve mais sur certains homme grâce aux sexe, la jeune femme le sait et la parfaitement assimilé. Elle pouvait avoir tout les hommes qu'elle désirait mais le seul qu'elle n'est jamais cesser d'aimer n'a jamais vraiment était capable de le lui rendre, alors quand elle a vu que Shakespeare non plus ne céder pas a ses avances elle a prit la décisions de le faire craquer sans prendre le risque d'être blesser... Mais peut-être le sera t-elle aussi si elle perdait son amitié après tout, elle n'a encore jamais vraiment réussi a être très proche d'un homme sans qu'il n'y ait de rapports entre je veux dire. « Ce qu'une nuit pourrait m'apporter? Pourquoi pas le plus belle orgasme de ma vie! J'ai arrêter de croire au prince charmant quand j'avais sept ans et l'idée qu'il y avait autre chose que des carpeaux sur cette terre ne ma jamais traverser l'esprit. J'ai déjà consacrer toute mes nuit aux même homme et ça ma seulement apporter que lui les partager également avec une autre. Au moins la je sais que les hommes avec qui je couche le fond avec d'autre mais je m'en contre fiche! Quand à toi, tu es juste gentil, je tenais vraiment a toi! Peut-être même encore maintenant mais je n'aime pas que les gens est une emprise sur moi...» Les conversations sérieuse de se genre n'était pas vraiment son genre, cela finissait toujours par lui filer la migraine ou par la saouler alors forcément elle avait tendance a ne pas trop en avoir. Quand il lui demande si elle ne pensait pas qu'aujourd'hui pouvait être un jour a faire de nouvelle expérience elle souria, elle n'arrivai pas a comprendre pourquoi il insister a ce point, pourquoi ne laissait-il pas tomber tout simplement cela lui faciliterai sans aucun doute la vie! « Peut-être mais qui c'est peut-être qu'aujourd'hui est aussi un jour où je perds mon audace! Je ne sait plus comment faire, a vrai dire je me sens bien comme ça les gens m'apprécie pour ce que je suis ou alors est bien ils n'ont qu'à passer leur route. Ca peut paraître cruelle mais je crois qu'avec les années c'est ce que je suis devenue...»
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Shakespeare H. Whistler
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MessageSujet: Re: my heart will go on ♦ FEAT MAELYS my heart will go on ♦ FEAT MAELYS EmptyMer 14 Juil - 19:02

Ce qu'elle disait était assez hétéroclite. Shakespeare essayait de suivre sans trop vraiment comprendre, avant de ressasser ce qu'elle disait à l'intérieur de sa tête. Elle avait eu un petit ami, qui l'avait trompé avec d'autres filles, d'accord. Elle voulait coucher avec lui, cette fois c'était clair, ok. Si elle ne voulait plus de petit ami, c'était pour ne pas se faire tromper encore une fois, et pour ne pas souffrir à cause de l'engagement rompu. En fait, ce qu'elle disait était assez logique avec son histoire, alors, Shakespeare écoutait avec compassion. Il aurait pu devenir comme elle, avec ses déceptions amoureuses, mais non, il était resté lui même en attendant de trouver la bonne. S'il y en avait une pour lui, il y en avait surement un pour elle. « Je suis touché que tu aies autant de confiance dans mes .. performances au lit, mais ce n'est pas pour ça que tu vas me convaincre de te laisser me toucher, non. Cela ne ferait que renforcer ton image de « tous les mecs sont infidèles et pourris », et je veux te montrer que non, il y a des gens tout à fait normaux qui ne souhaitent pas faire souffrir leur petite amie, comme moi. Est-ce que je t'ai trompée quand nous étions ensemble ? Non. J'étais gentil, et je n'avais aucune emprise sur toi, dieu ce que tu étais indépendante et fougueuse. Il ne faut pas que tu t'arrêtes à une impression et que tu t'empêches de vivre normalement à cause de celle-ci. Je suis la preuve qu'il existe des mecs bien, et je suis sûr que tu trouveras celui qui te correspondra. » Elle souriait toujours, et pourtant, son discours n'était pas joyeux du tout. Cruelle, vraiment ? Ce n'était pas comme ça que Shakespeare la voyait, du tout. Il voyait beaucoup de qualités en sa personne et avait du mal à repérer ses défauts. En fait, il voulait vraiment l'aider à retrouver une vie normale et à ne plus faire la folle à droite et à gauche comme elle le faisait aujourd'hui. « Tu crois que les gens t'apprécieront moins si tu joues moins la peste ? N'est-ce pas un peu illogique ? Moi j'aime bien la femme que tu es, mais je n'aime pas ce que tu essaies de faire pour prouver à toi ou à quelqu'un d'autre quelque chose. Tu n'as aucuns comptes à rendre, et je ne vois pas pourquoi tu ne te lâches pas et tu te caches sous un personnage qui est loin d'être parfait. »
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