I NEEDED MORE THAN YOU PROPOSE ♣ AUTUMN

scp **Autumn K. Jackson**

.AUTUMN KIRSTEN JACKSON ♣

J'ai actuellement 21 ans, j'habite à Las Vegas depuis trois ans. Je suis célibataire. Je suis née le04 avril 1989 à Washington aux USA. Je fais des études de criminologie. Si on me demande dans quelle classe sociale je suis je répondrais : riche.

.NEED YOU ON MY WAY ♣

©midnight poison.
♣ PSEUDO/PRENOM : loveash ♣ AGE & NIVEAU DE RP :19 ans et un niveau rp bon ♣ COMMENT ÊTES VOUS ARRIVE ICI ? par un mail de masse♣ VOTRE AVIS SUR LE FORUM : j'aime (a) ♣ VOTRE AVATAR & GROUPE CHOISI : Ashley Greene pour les Snake♣ MOT DE LA FIN : je croise les doigts

scp **Autumn K. Jackson**

.YEAH IT'S MY DIRTY LIFE ♣

La main posée sur le rebord de la fenêtre, je fouillais l'horizon des yeux afin de comprendre ce qui me manquait dans cette petite vie que je menais. Mon imagination d'enfant pensait à Peter-Pan, songeant aux parents de la jeune Wendy inquiet devant cette disparition inexpliquée. Mes propres parents seraient-ils aptes à s'inquiéter pour moi? Me penchant, regardant l'étoile la plus haute du ciel, je joignis les mains en une prière silencieuse. Mes paupières se pressaient fortement, l'obscurité causée par mes yeux fermés m'enfermant encore davantage dans ce rêve silencieux. Je rêvais tellement du jour où mes parents reviendraient pour cette fois me prendre dans leur bras. Même un sourire de leur part suffirait à me combler de bonheur. Mais je connaissais davantage celui de mes grands parent, mais je ne parviens pas à être proche d'eux. Je vois en ces gens les coupables qui me volent l'affection paternelle. S'ils ne s'étaient pas proposés de bon cœur pour m'élever, peut-être ma mère aurait trouvé judicieux de rester avec moi plutôt que d'aller acheter des robes. « Autumn » Je sentais les larmes coulaient le long de mes joues rebondis tandis que je me retournais vers la dite grand mère venu pour me mettre au lit. Me levant brusquement, je bondis sur le sol avec toute l'agilité que me permettait mes cinq ans avant de foncer vers la porte et de l'éviter. Je me moquais de poser problème et je sautais dans le lit de mes parents avant de me blottir contre les deux oreillers. Mon pouce vint bientôt se loger dans ma bouche tandis que mon regard vert sombre tentait de capter les ombres venues hanter une chambre désespérément vide depuis trop longtemps. Levant la main vers l'une d'elle, tandis que je captais un chignon, je murmurais. « Maman ». Mais ma main ne rencontra que le vide et je me surpris une nouvelle fois à sentir les larmes rouler alors que je me blottissais avec cette sensation amère de ne pas être aimée. Combien d'enfants se voyaient abandonnés parce que la mère préférait la mode à votre étreinte? J'en étais tellement malheureuse que je ne savais plus comment faire pour ne plus être triste. Mais le sommeil qui m'étreignit ne me permit pas de réfléchir, du moins pas pour le moment.

Mes doigts fins usaient à merveilles de ce crayon offert à noël. J'avais été plus que gâtée comme chaque année en réalité, rien de bien étonnant. J'étais toujours vêtue à merveille, une vraie princesse au sourire angélique que les gens apprécient pour la joie de vivre et surtout la politesse enseignée par ses parents. Du moins en apparence. Car malgré toutes mes espérances et toutes mes prières, ils n'avaient jamais été disponibles. Après quelques larmes, un chagrin qui m'avait broyé un cœur encore innocent, j'avais réussit à me détacher d'eux et à m'enfermer dans une bulle de solitude. Mais je n'en étais pas plus heureuse et devais m'avouer qu'à l'intérieur de moi même, j'espérais encore qu'il s'apercevrait de mon manque de leur affection. Mes grands parents essayaient pourtant de me prodiguer tous les soins qu'ils pensaient me voir désirer, mais ce n'était rien à mes yeux. Je n'éprouvais pas même une légère gratitude, leurs efforts m'indifféraient. Pourtant, une chose m'apparut nettement quand je croisais le regard de mon père ce jour là. C'était un regard chaud, de celui qui était fier de la fille engendrée. Je ressentis un amour que je ne pensais pas exister et je ne pus qu'aller sauter dans ses bras alors que sa bouche se pressait contre ma joue. Laissant la froideur du désespoir j'osais également aller vers ma mère, m'accrochant à ses jupes pour la tirer légèrement afin de lui montrer que j'étais là. Bizarrement, j'étais certaine qu'elle allait également m'abreuver de ce regard puis me serrer dans ses bras. Mais elle était avide quand à se montrer une véritable femme du monde et elle me poussa sans plus faire attention à moi, se contentant de s'occuper de ses invités. Blessée, je hurlais sans me rendre compte des conséquences. Le monde bascula quand je surpris le regard de ma mère glacial, alors qu'elle m'abreuvait de paroles injustes et qui blessèrent la petite fille encore rêveuse. La petite fille qui avait cru quelques minutes exister. Car bien entendu mon père se rangea à ses côtés. Il n'y aurait jamais que deux clans dans cette famille. Moi contre eux. Mais nous ne formerions jamais qu'un. Je l'ai compris ce jour là et je me suis définitivement éloignée, cessant de croire au père noël et à ses contes de fées qui me faisaient sentir que tout était possible. Ce n'était pas vrai.

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Deux ans plus tard, pour des raisons concernant les affaires de mon père, mes parents me forcèrent à déménager. Moi qui avait tant d'amis dans cette ville qui m'avait vu grandir, je me voyais obligée de tout abandonner sur un claquement de doigt. Révoltée contre tant d'injustice, je ne dis cependant rien, retenant les paroles acides qui me montaient aux lèvres. Je ne déménageais pas non plus n'importe où et j'avais appris durant ces années qu'il y avait toujours un avantage partout et dans chaque chose. Le fait que mes parents ne se soient jamais réellement occupés de moi m'assurait une liberté totale, ou presque. Mes grands parents refusèrent quand à eux ce voyage et ils eurent bien raison. Le nez collé contre la vitre, je finis par m'asseoir correctement sur le siège de cette voiture de luxe. J'étais habituée à tout avoir, la richesse de mes parents leur servant à m'acheter à défaut d'amour. Si bien que j'étais devenue capricieuse, assumant cette part de personnalité qui déplaisait à ceux qui pouvait la voir. Sans que ça ne me touche particulièrement d'ailleurs. Ce n'était pas mon problème si les gens ne m'aimaient pas quoiqu'au fur et à mesure que les jours s'écoulaient, je m'apercevais que sans l'appuie des gens et des relations, on avait moins que lorsqu'on s'obstinait à faire cavalier seul. Pensive, je méditais déjà sur ça et me laissait grandir tout en perfectionnant mon look. Amoureuse de la mode, je mettais un point d'honneur à toujours être élégamment habillée sans paraître toutefois en décalage avec mon âge. Les vêtements étaient devenues une passion, à l'instar de cette mère que j'admirais tout en la méprisant. Mais je savais m'y prendre avec elle. J'avais en effet décidée d'être la petite fille parfaite et de faire tout ce qu'elle attendait de moi, c'est à dire me conduire admirablement bien en public pour obtenir ce que je voulais d'elle ensuite. Manipulatrice? Je l'étais et j'en étais également conscience. De plus, mon père m'avait transmis la capacité de charmer, cette qualité proprement italienne et en partie acquise grâce à la langue de ce pays qui m'avait toujours fascinée. Lorsque j'entrouvrais les lèvres pour parler, plongeant mes yeux dans les prunelles d'un interlocuteur fascinée et que mes paroles coulaient en musique sur un son latin, je parvenais à avoir ce que je désirais. La manipulation était devenue une habitude dont je n'avais réellement plus conscience par la suite et je parvenais à faire ce que je voulais des hommes. Malgré tout, je restais dans la subtilité et me gardait de mentir, préférant manipuler avec les armes de la franchise dans la mesure de mes possibilités. Cependant, je me moquais éperdument de ce qui pouvait arriver à ceux qui avait le malheur de tomber dans les pièges tendues par cette garce que j'étais devenue, une garce qui parfois s'amuser aux dépens des autres pour se distraire. J'avais tant souffert dans mon enfance que je me permettais des choses que je m'estimais due. Si mes parents m'avaient en effet enseigné quelque chose, c'était le mépris des sentiments. Je ne m'attachais donc pas aux autres, préférant les manipuler à ma guise sauf bien entendu exception. Je n'en étais pas moins humaine et j'avais des amis, des meilleurs amis, des coups de cœur. Mais que se passait-il lorsque l'on dissimulait de tels sentiments derrière le masque de l'indifférence pour la plupart? Seuls les véritables amis qui me connaissaient et savent comment je suis ont le droit à ce naturel que je ne pensais plus avoir sinon avec les êtres que j'aime.

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« Autumn, tu as été acceptée à Cassiope. » Levant la tête vers ma mère, je réfléchis. J'étais bien entendu heureuse mais j'avais surtout hâte de m'y faire une véritable place. Pour être franche, j'aimais m'imposer dès le début et je détestais ne pas être connue. J'étais devenue une femme que j'avais mépris pendant tant d'année mais les images étaient trop importantes pour les laisser de côté, et ce, pour mon propre bonheur personnel. Hormis les liens du cœur, les liens familiaux ne m'avaient tellement pas servit que je ne me rendais pas compte de l'importance d'être gentille. Non j'étais simplement centrée sur moi même, sur mes désirs, mes rêves, ma volonté de réussir ou peut-être de devenir ce que je désirais. « Bien mère, j'en suis heureuse. » Nos relations étaient devenues tellement froides, sans que pour autant cela ne m'atteigne. C'était triste en fin de compte....que je n'éprouve plus ce désir de me rapprocher d'elle. « Je sais que je n'ai pas été une mère parfaite mais tu réussis. J'espère que tu comprendras que mon comportement n'était que pour ton bien mais surtout, je souhaite évoluer nos relations maintenant que tu es une femme. » Je ne l'étais pas totalement, une adolescente tout juste majeur, qui ne souhaitait cependant en aucun cas renouer ce que j'avais cherché trop d'années avec cette femme. Me levant avec cette grâce acquise, je la regardais sans aucunes expressions avant de sourire légèrement. « Il est trop tard mère » Puis, je me détournais avant de sortir de la pièce, la laissant elle même découvrir ce qu'était le rejet.

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Je suis entrée à la fac avec la ferme attention d'être ce que j'avais envie d'être et non ce que l'on désirait que je sois. Je m'attachais aux apparences et je ne m'abaissais donc pas à parler à n'importe qui. Non pas que je me sente supérieure, quoique peut-être sans doute un peu. Supérieure à ces gens qui me dévorent des yeux sans me connaître, supérieure à ces gens qui ne savent aborder une femme qu'avec des questions inutiles, supérieure à ces gens tellement inintéressant qu'ils arrivent à me faire bailler en plein après midi. Mon arrivée s'est déroulée sans accroche et je me suis vite intégrée chez les Snake. Oui... serpent... Je me retrouve avec des gens qui me ressemblent mais surtout avec des gens que je considère moins idiots que la plupart de la population universitaire. Puis j'y ai rencontré Demetrio qui est rapidement devenu quelqu'un à part, mon meilleur ami, celui vers qui je peux me tourner quand tout va mal et ce, sans m'intéresser à ce qu'il peut amener dans son lit. Je sais que je passerais avant tout le monde et il en a plutôt intérêt s'il ne désire pas que je le morde et à pleine dent. Cependant, tout se complique en sa compagnie et je ne comprends pas cette jalousie maladive qui me broie quand il se met à draguer n'importe qui. Pourquoi cette envie de tordre le cou à cette jeune blonde à laquelle il envoie des signaux au travers de sourires charmeurs? Pourquoi avoir envie de le gifler quand il se met à effleurer de la bouche la joue d'une belle rousse? Ce n'est qu'un ami, cher, mais un ami seulement. Et je m'y tiens bien que j'attende de lui d'être la première sans arrêt. La première partout.

Voilà deux ans que je suis dans cette fac et je suis désormais en charge de la co présidence des Snake. Un véritable honneur et une tâche que je suis fière d'assumer.

« Oui? » Je me retournais vers lui, ennuyée d'être ainsi interrompue alors que je tenais à aller au Starbucks rejoindre une amie. Surtout que s'il continuait à bégayer ainsi, je n'étais pas arrivée. Le regardant impatiente, il finit par baragouiner quelques mots que j'identifiais comme une demande à sortir. Le regardant les yeux ronds, je finis par éclater de rire avant de souffler. « Désolée je n'en ai pas envie. » Détournant les talons, je m'éloignais dans le couloir, en ayant déjà oublié la scène d'il y a quelques secondes.

J'étais ainsi faite. La vie m'avait formée. Je n'étais pas à proprement parlé fière de ce que j'étais, je m'acceptais ainsi. Chacun a ses problèmes et je me débrouille simplement pour ne pas en avoir. Je vis ma vie en désirant toujours plus et par là même, je peux dire que j'aurais toujours plus.

gp **Ahàron P. Minneli**

BIENVENUE

scp **Autumn K. Jackson**

Donc si quelqu'un finit avant moi j'aurais encore ma chance?
Car j'ai tendance à faire long et à y mettre du coeur

gp **Ahàron P. Minneli**

scp **Autumn K. Jackson**

Bien chef ! :ooo:

et merci, je vais donc commencer et pouvoir prendre mon temps pour faire au mieux ^^

gp **Ahàron P. Minneli**

sp **Demetrio A. Puccinelli**

b i e n v e n u e :ooo:

GREENE

I NEEDED MORE THAN YOU PROPOSE ♣ AUTUMN 422384

scp **Autumn K. Jackson**

Thanks Darling :ooo:

scp **Autumn K. Jackson**

voilà je pense avoir terminé ma fiche (a)

sp **Demetrio A. Puccinelli**

Je vais lire ta fiche (aa) mais juste une question vous n'étiez pas deux pour le rôle ? Je ne retrouve pas l'autre I NEEDED MORE THAN YOU PROPOSE ♣ AUTUMN 600301

I NEEDED MORE THAN YOU PROPOSE ♣ AUTUMN 600301

scp **Autumn K. Jackson**

En réalité, elle a changé de pseudo (a)

sp **Demetrio A. Puccinelli**

Donc tu es la seule et l'unique (aa), je vais lire ta fiche :smile:

scp **Autumn K. Jackson**

Je l'espère bien pour toi mdrr

Thanks darling

sp **Demetrio A. Puccinelli**

Wooooouah très belle fiche ! Tu es validée I NEEDED MORE THAN YOU PROPOSE ♣ AUTUMN 797935

n'oublie pas d'aller voir le topic concernant le projet facebook.

scp **Autumn K. Jackson**

ouahhhhh thank you

et je vais la créer de ce pas cette page :ooo:

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